La réalisatrice Marion Vernoux filme la grande Fanny Ardant dans Les beaux jours, un drame romantique d’une sensibilité à fleur de peau.
L’amour n’a pas d’âge. Il peut même apparaître lorsqu’on est déjà en couple, avec des enfants et des petits-enfants. C’est ce qui arrive à Caroline (Fanny Ardant) qui s’éloigne progressivement de son mari (Patrick Chesnais) après avoir fréquenté Les beaux jours, un centre qui propose des activités aux personnes du troisième âge et qui lui a permis de rencontrer un professeur d’informatique (Laurent Laffite) beaucoup plus jeune qu’elle. Entre les deux, c’est le coup de foudre…
Le triangle amoureux, Marion Vernoux connaît. Elle l’a d’ailleurs déjà exploité dans ses précédents films Love, etc. et Reines d’un jour. « J’imagine que ce sont des thématiques qui me tiennent à cœur, que ce soit la culpabilité, la clandestinité et le fait d’être partagé, raconte la cinéaste, qui cite l’influence de Claude Sautet sur son œuvre. J’aimerais bien parfois échapper à ça, mais c’est comme le Triangle des Bermudes. Je suis prise dedans. »
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